Les bases des bonnes pratiques pour améliorer votre référencement naturel
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Les règles de base pour optimiser votre contenu rédactionnel sur internet

Dans différents articles, nous avons abordé ponctuellement des aspects essentiels qui contribuent à l’optimisation du contenu, donc à son référencement sur les moteurs de recherche. Nous y avons épinglé la prééminence de certains aspects (comme le H1, par exemple) sur d’autres (comme le champ sémantique). Mais en définitive, ce sont les bonnes pratiques générales du contenu qui sont vertueuses et produiront de l’effet. Un “terrible” H1 ne suffira pas à lui seul à propulser votre page sur le net. Ce sont toujours un ensemble d’aspects, mis bout à bout qui y parviendront. Et c’est justement à la suite d’une demande d’un de nos lecteurs que nous allons lister ce qui, au vu de notre expérience contenu, engendre des résultats. Nous allons succinctement lister les points clés et, pour ceux qui le désirent, nous renvoyons aussi à nos articles plus fouillés sur chaque aspect abordé (via le lien).

Notre vade-mecum pour ne rien oublier… ou presque…

Rien de mieux qu’un petit guide pour nous rappeler, si nécessaire, les bons réflexes afin que votre contenu savamment concocté se retrouve en bonne position. Sans prétendre être dépositaires de la vérité absolue, au sein de l’équipe Calame, nous avons une épinglé une dizaine de pratiques vertueuses qui ne pourront faire que du bien à votre précieux contenu.

Les voici dans un ordre (presque) logique :

  • Nommer les URL : tout commence par l’Url, car elle va envoyer un message à l’utilisateur et à Google. En apparence anodin, cet aspect doit cependant répondre à certaines règles de structure qu’il faut toujours garder à l’esprit. Ne pas utiliser une suite de chiffres ou de lettres indigestes, y glisser le mot-clé (pas trop de mots-clés !), bien séparer les mots à l’aide de (-) ou de (.), des URL cohérentes sur l’ensemble du site. Et bien d’autres points que vous trouverez dans notre article consacré à ce sujet ;

  • Des meta title pertinents : c’est la balise titre qui apparaît en bleu dans les moteurs de recherche. Dotée d’un nombre maximal de pixels ou de caractères, il faut s’abstenir de la faire trop longue pour éviter la troncature, représentée par les trois petits points qui, souvent, ne veulent rien dire. Les études montrent que vous obtiendrez un bien meilleur CTR (Click-Through rate ou taux de click) en proposant un meta title accrocheur de votre cru et pas celui proposé par défaut par Google ;

  • Une méta description engageante : pour faire court, la méta description (balise HTML) résume le contenu de votre page qui doit, en principe, répondre à la requête de vos lecteurs. Limitée à 150 caractères – en version pc – ou 105 caractères – version mobile -, elle joue un rôle essentiel dans la dynamique de votre site. Si le contenu est imposé par Google, et donc souvent tronqué, il ne va pas présenter au mieux vos solutions proposées aux visiteurs. Nous conseillons donc vivement de s’y attarder pour aguicher les visiteurs éventuels. La différence en taux de clics (CTR) entre une bonne et mauvaise méta description est tout simplement énorme. Bien que Google affirme que la méta n’influence directement pas le positionnement… Pour en savoir plus, nous vous invitons à lire notre article consacré à ce sujet ;

  • La chasse aux mots-clés : avant de vous atteler à la rédaction de contenu, il est fondamental de s’attarder sur le mot-clé, ou un groupe de mots, qui va synthétiser l’intention de votre prospect. Le mot-clé vous en apprendra beaucoup sur votre activité mais aussi sur votre persona (client idéal). Il existe différentes catégories de mots-clés qui seront utilisés en fonction de votre objectifs. Les plus courants sont les transactionnels ou les informationnels. Lisez un de nos articles est consacré à ce sujet primordial. Les mots-clés, alors, n’auront plus de secrets pour vous ;

  • Le champ lexical et champ sémantique pour y trouver son bonheur dans le pré : deux notions voisines qui prêtent souvent à la confusion. Pour faire court, le champ sémantique traite de polysémie alors que le champ lexical parle d’un thème commun. Bien les étudier avant de démarrer un contenu renforcera la fluidité du texte, sa richesse et renforcera l’attention du lecteur. A ce sujet, voir notre article ;

  • Le H1, mieux vaut ne pas le louper : nous n’insisterons jamais assez sur ce point essentiel quand nous abordons, avec nos clients, la finalité de leur projet. Le H1, en respectant des règles incontournables et dictées par l’objectif assigné, va donner le ton général de la page et va la structurer du début à la fin. L’image de la pyramide inversée est d’ailleurs souvent utilisée, pour illustrer le H1. Un article fouillé décrit par le menu un aspect vital du SEO ;

  • H2, H3,… autant que vous voulez mais bien ordonnés ; le H1, il n’y en qu’un ! Par contre, il n’y a pas de limites pour les sous-titres ou en-têtes. Ils vont structurer et rythmer votre contenu de manière naturelle en aérant la lecture. Avec habilité, ils encourageront le lecteur à aller jusqu’au bout et rester sur votre site ;

  • Une bonne longueur, ni trop ni trop peu : la longueur va dépendre de pas mal de paramètres, mais il faut garder à l’esprit que statistiquement les pages ou les fiches qui tiennent le haut du pavé proposent un nombre de mots équivalent – et ça, ce n’est pas un hasard. Voir notre article ;

  • L’attribut alt, y faire un stop pour avancer : le texte alternatif, à notre avis, est trop négligé ce qui est une hérésie. Nous avons expérimenté un nombre de sites sans la moindre trace de texte alternatif alors qu’il influence très positivement la visibilité et les bonnes pratiques. Jetez un coup sur ce sujet dans un article très instructif publié sur notre blog qui va aussi donner quelques règles relatives à la légende et au contenu descriptif ;

  • Un bon maillage fera un joli tricot : créer des liens internes naturels vont augmenter considérablement l’expérience utilisateur (ux = user expérience) sur votre site qui aura tendance à s’y attarder. En facilitant la navigation au sein de vos pages, un maillage interne de qualité va envoyer du jus vers l’ensemble du site qui verra son référencement amélioré. Un article sera bientôt consacré à ce sujet ;

  • Du bon, du vrai par des humains pour des humains : on ne le dira jamais assez.. le fake, le ton si policé et bridé de l’IA produit du contenu, certes supérieur à bon nombre d’humains lambda, mais il va pâtir de créativité, il va se répéter inlassablement et aura toujours un temps de retard sur le monde et donc sur des experts humains… Nous avons testé des productions de qualité versus des productions IA et à chaque fois Google favorisait les humains. Sans parler de l’expérience utilisateur qui intuitivement flaire le pot-aux-roses ;

  • Priviligier la voix active : la voix active dynamisera votre contenu, captera les lecteurs et incitera à l’action, l’utiliser en priorité – mais pas exclusivement – constitue une bonne pratique SEO.

Faire siennes des bonnes pratiques qui donneront des résultats

Au terme de cet article, nous avons épinglé dix points à tenir à l’oeil pour que votre contenu rédactionnel, d’après les critères de Google, se retrouve dans les impressions et qu’il suscite de l’intérêt pour le voir grimper dans la SERP. Tout cela pour rappeler que rien n’est le fruit hasard et que si certains réussissent mieux que d’autres c’est que l’expertise a pesé de tout son poids. Non, nous ne sommes pas tous des copier-coller, remplaçables par le premier venu et le savoir vaut son pesant d’or.

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